La demande du fumeur: « Je viens pour arrêter de fumer mais, j’aime fumer! Et si je ne fume pas, je ne sais pas quoi faire de mes mains, je deviens nerveux et je suis mal à l’aise en société. De plus, j’ai peur de prendre du poids.»
– On dit qu’en 1 ou 2 séances d’hypnose on peut y arriver ! Que pouvez-vous faire pour moi ?

Rép. Th.: Toute addiction est un symptôme plus ou moins grave qui peut masquer des difficultés dans la gestion de sa vie pour faire face aux autres, à la solitude, au stress, aux émotions, à un manque d’aisance et de confiance en soi.
-Un 1er entretien servira à comprendre le pourquoi du besoin d’utiliser cette béquille. Le nombre de séance est au cas par cas.
– Le futur ex-fumeur va réapprendre à se positionner pour reprendre du pouvoir face à cette obsession et au besoin impérieux d’utiliser le la cigarette.

Rép. Th.: Toute addiction est un symptôme plus ou moins grave qui peut masquer des difficultés dans la gestion de sa vie pour faire face aux autres, à la solitude, au stress, aux émotions, à un manque d’aisance et de confiance en soi.
-Un 1er entretien servira à comprendre le pourquoi du besoin d’utiliser cette béquille. Le nombre de séance est au cas par cas.
– Le futur ex-fumeur va réapprendre à se positionner pour reprendre du pouvoir face à cette obsession et au besoin impérieux d’utiliser le la cigarette.
– Si une personne est prête consciemment et inconsciemment à s’en libérer, qu’elle consomme 1 à 3 paquets par jour, le miracle peut s’accomplir mais, il faut rester prudent. C’est à dire, veillez à ne pas compenser sur la nourriture ou autres (Déplacements).
– Les rechutes ? Elles sont utiles et s’étudient en face à face et en hypnose. A partir de là, de nouveaux ancrages comportementaux sont développés dans le sens ressenti et souhaité.
* La pratique régulière de l’Auto-hypnose à base de respiration consciente favorise l’équilibre psycho-corporel et émotionnel. Il en découle une sensation d’apaisement, d’ouverture et de force tranquille que la personne addicte va pouvoir utiliser spontanément pour faire face aux situations conflictuelles, sans ressentir le besoin de placer machinalement dans sa bouche quelque chose pour anesthésier sa gène ou son mal-être.